De 3sixteen vous connaissez la signature hyper sharp d’un workwear exigeant (denim notamment), ou les céramiques japonaises issues de la traditionnelle cérémonie du thé. Une esthétique aux codes précis, à la photo léchée qui place cette marque dans une catégorie à part. Une spécificité qui n’a pas échappé à la marque fondatrice du perfecto et qui depuis 1928, perpétue cette ligne sur laquelle toutes les modes se sont arrêtées sans jamais réussir à s’y accrocher. Et pour la 5ème fois consécutive, Schott a demandé à 3sixteen de revisiter cette icone. Le défi est toujours le même : réinterpréter sans dénaturer, se réapproprier sans travestir. Il en ressort une version épurée, dont le cuir grainé apporte une souplesse et un tombé moins « glacy » que la version traditionnelle. Une coupe qui tue et des détails qui sauvent : notez la poche anglée sur la poitrine, clin d’œil aux versions fabriquées pendant la guerre où des poches de biais avaient été ajoutées par l’armée pour avoir un accès facile de la main droite à un éventuelle arme de poing.