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#MOBILITY

Ray Mallock Limited x Ferrari 250 SWB : la beauté du fiable

Après s’être fait un nom derrière le volant des meilleures sportives dans les années 80, Ray Mallock développe sa propre activité de préparateur automobile, avant de passer la main à son fils Michael il y a 10 ans. Ce dernier sent que la folie vintage commence à s’emparer des ventes aux enchères où désormais tout ce qui est vieux et roule fait l’objet d’une spéculation frénétique. Seul problème des voitures anciennes, c’est que leur conception antédiluvienne les rend aussi pénibles à conduire qu’impropre à se conformer aux nouvelles normes. La solution : garder la sublime robe, mais changer le mannequin qui la porte. Si l’opération est assez courante sur les Porsche 911 ou les Jaguar Type E, sur les Ferrari, rares sont ceux qui ont osé s’y atteler. Michael Mallock y voit à l’inverse une belle occasion de se faire remarquer et choisi l’une des plus folles : la 250 châssis court. Reine des enchères, comptez entre 15 et 20M d’euros pour vous en offrir une, la 250 incarne la perfection dont Steve McQueen lui-même s’était laissé convaincre à l’époque. Mais pour en faire une voiture utilisable au quotidien, Mallock est en réalité partie d’une autre Ferrari, la 550 Maranello des années 90. Une fois dépouillée de sa carrosserie, le châssis a été raccourci pour pouvoir s’adapter aux proportions de la 250. Mécaniquement donc, le 12 cylindres Ferrari, la boite de vitesse et toute la partie technique datent des années 90 (Climatisation, boite 6 vitesses, ABS…). A cela s’ajoute une autre composante essentielle : l’utilisation massive du carbone partout ou cela a été possible qui a permis à l’ensemble de gagner près de 300kg. Une merveille. Le seul bémol à nos yeux vient peut-être d’un intérieur un peu trop éloigné de l’esprit d’origine. Mais pour le reste, on est conquis.

Ray Mallock Limited x Ferrari 250 SWB : la beauté du fiable

Après s’être fait un nom derrière le volant des meilleures sportives dans les années 80, Ray Mallock développe sa propre activité de préparateur automobile, avant de passer la main à son fils Michael il y a 10 ans. Ce dernier sent que la folie vintage commence à s’emparer des ventes aux enchères où désormais tout ce qui est vieux et roule fait l’objet d’une spéculation frénétique. Seul problème des voitures anciennes, c’est que leur conception antédiluvienne les rend aussi pénibles à conduire qu’impropre à se conformer aux nouvelles normes. La solution : garder la sublime robe, mais changer le mannequin qui la porte. Si l’opération est assez courante sur les Porsche 911 ou les Jaguar Type E, sur les Ferrari, rares sont ceux qui ont osé s’y atteler. Michael Mallock y voit à l’inverse une belle occasion de se faire remarquer et choisi l’une des plus folles : la 250 châssis court. Reine des enchères, comptez entre 15 et 20M d’euros pour vous en offrir une, la 250 incarne la perfection dont Steve McQueen lui-même s’était laissé convaincre à l’époque. Mais pour en faire une voiture utilisable au quotidien, Mallock est en réalité partie d’une autre Ferrari, la 550 Maranello des années 90. Une fois dépouillée de sa carrosserie, le châssis a été raccourci pour pouvoir s’adapter aux proportions de la 250. Mécaniquement donc, le 12 cylindres Ferrari, la boite de vitesse et toute la partie technique datent des années 90 (Climatisation, boite 6 vitesses, ABS…). A cela s’ajoute une autre composante essentielle : l’utilisation massive du carbone partout ou cela a été possible qui a permis à l’ensemble de gagner près de 300kg. Une merveille. Le seul bémol à nos yeux vient peut-être d’un intérieur un peu trop éloigné de l’esprit d’origine. Mais pour le reste, on est conquis.