C’est sans doute la collaboration qui aura fait le plus grand bien à Louis Vuitton. Il y a 20 ans, Marc Jacobs qui officie à la direction artistique propose à l’artiste japonais de collaborer et lui laisse libre champ. Son univers pop et coloré transforme et propulse les icônes de la maison, dont le célèbre sac Speedy, dans une tout autre dimension, notamment chromatique. Ouvrant le champ à une création bien plus délurée, ce premier opus va mettre Louis Vuitton sur une autre planète, celle d’un désir qui va copieusement rajeunir l’audience. 20 ans plus tard, pour la ré-édition de cette capsule mythique, Takashi Murakami appose de nouveau ses célèbres fleurs, le fameux Panda et ses créatures de la planète 66 tout en colorant de nouveau l’iconique Monogram de ses teintes kawaii. Mis en lumière par la splendide Zendaya, c’est la meilleure nouvelle de ce début d’année.