A Venise, Buccellati remet ses classiques intemporels à jour dans une exposition créée et réalisée par Balich Wonder Studio

La magie du « classique » est l’objet d’une exposition spectaculaire organisée Buccellati, et installée dans les espaces de l’Officine 800, sur l’île de Giudecca. ‘The Prince of Goldsmiths, Rediscovering the Classics’ explore l’héritage, l’histoire, et l’artisanat des créations de la célèbre maison italienne.
Imaginée et réalisé par Balich Wonder Studio et accompagné d’une sélection de pièces de joaillerie et d’argenterie d’Alba Cappellieri, le projet s’inspire du nom avec lequel le poète Gabriele D’Annunzio a défini Mario Buccellati en 1936: « Le prince des Orfèvres». C’est aussi un hommage à une entreprise qui, depuis sa fondation en 1919, a donné vie à des créations où le passé, le présent et le futur fusionnent, aux fins d’une élégance ultra contemporaine. Le fil conducteur de l’exposition vénitienne est une redécouverte des classiques, toujours à même de faire passer des sentiments d’émerveillement, d’étonnement, et de passion. « Les classiques offrent le plaisir de la redécouverte, de l’élégance, de l’art, et de la nature, le tout, hors du temps, » a déclaré Andrea Buccellati, directeur artistique et président d’honneur de la maison. Marco Balich ajoute également « Cela a été un honneur de joindre notre esthétique et créativité à la grande histoire de la Maison et de faire revivre l’héritage de Buccellati à travers une vision contemporaine».
L’histoire de Buccellati est dévoilée au travers d’une série d’installations vidéo, réparties en 4 salles, célébrant les chefs d’œuvres de l’art classique italien. La soirée d’inauguration, organisée parallèlement à l’ouverture de la Biennale d’Art, s’est transformée en un événement festif comptant les performances de Gloria Gaynor et Mika. Lors de ce moment hors du temps, on a notamment croisé Tao Liang, Sophie Poitrinal, Talita Von Fürstenberg, Géraldine Boublil, et Chahan Minassian.

Photo: Jean Picon