Gérard Darel et Joséphine de La Baume organisent le dîner de lancement Interlope à Londres
On ne le démentira jamais : à Londres, la nuit est au moins aussi généreuse que le jour. Loin des rituels marketing étriqués, Joséphine de La Baume, Maison Darel et INTERLOPE ont orchestré lundi soir un dîner à la française où la parole et l’authenticité ont primé sur l’hystérie des caméras. Aux côtés de son compagnon, le musicien Carlos O’Connel, l’actrice a convié une trentaine d’invités au bar Space Talk, dont Sienna Miller, Georgia May Jagger, Camille Charrière, Alice Dellal, Amelia Dimoldenberg ou encore Camille Rowe, visage de la marque. Autour d’une unique table carrée, le dîner s’est déroulé, sans selfies ni téléphones omniprésents, jusque tard dans la nuit. Ensemble, ils ont incarné la philosophie de la marque : créer des moments où règnent l’échange et la vérité des rencontres.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Depuis sa fondation en 1971, Gérard Darel revendique une forme de non-conformisme bien français : refus du superflu, intelligence de la coupe, simplicité sophistiquée. Une manière de voir qui a attiré, au fil des décennies, les silhouettes les plus exigeantes, parmi lesquelles Christy Turlington, Charlotte Gainsbourg ou Robin Wright.
L’ouverture imminente d’une nouvelle boutique londonienne, à Regent Street – suivie de celle de Madison Avenue à New York, puis à Dubaï et Shanghai – prouve que le style à la française, dès lors que l’on conserve intacts un ADN et une vision, est indémodable. Gérard Darel le sait, et réinvente ses codes en s’entourant toujours de talents singuliers.
Photos : James D. Kelly
