
La 70e édition de la BRAFA Art Fair met l’accent sur le travail de Joana Vasconcelos
La BRAFA, est l’une des foires d’art les plus prestigieuses d’Europe. Une parenthèse exceptionnelle de 8 jours durant laquelle sont exposées à Brussels Expo, dans un décor raffiné, des œuvres rares, allant de l’Antiquité au XXIe siècle. Depuis 1956, année de sa création, c’est son goût pour l’excellence qui l’a fait sans cesse évoluer. Au fil du temps, elle s’est agrandie, internationalisée, a changé de lieu plusieurs fois sans perdre de son charme avec un objectif simple : proposer la foire d’art la plus qualitative possible afin de combler les envies des collectionneurs à la recherche de pépites. 130 galeries internationales y exposent. Qu’il s’agisse de peinture ancienne ou moderne, d’art tribal, de joaillerie, d’argenterie ou de design, ce sont les galeries les plus qualitatives dans chaque spécialité qui sont sélectionnées avec attention pour chaque édition.
Mis en lumière cette année, Joana Vasconcelos est une artiste plasticienne portugaise dont la carrière s’étend sur plus de 30 ans et qui utilise une grande variété de supports. Si elle a une prédilection pour les matériaux textiles, Joana Vasconcelos travaille aussi le ciment, le métal, la céramique, le verre ou les objets trouvés. Réputée pour ses sculptures monumentales et ses installations immersives, son idée est de décontextualiser les objets du quotidien et de réactualiser le concept d’artisanat au XXIe siècle. Avec humour et ironie, elle questionne le statut de la femme, la société de consommation et l’identité collective.
Lors de la soirée d’inauguration, nous avons notamment croisé la directrice générale de la foire Beatrix Bourdon, mais aussi Daniel Templon, Nathalie Obadia, François de Jonckheere, Laurent Dassault, Thomas Deprez…
Photo : Michael Huard