Cinq jours d’art moderne et contemporain sur fond de nuits endiablées, le tout à Miami Beach : Art Basel est le rendez-vous depuis 1970 des branchés cosmopolites. Entre deux flâneries sur la côte ensoleillée, parsemée d’installations artistiques, c’est le règne de la fête et de la décontraction.
Immanquable cette saison : la soirée du Silencio, qui s’est délocalisé en Floride le temps d’une nuit pour donner à Pharrell Williams l’occasion de nous faire danser.
Et puis, comme il fallait s’y attendre, le Baron a monopolisé les festivités avec ses soirées que l’on a cherchées partout. Where is Le Baron? Une question à laquelle Theophilus London, Takashi Murakami, Maurizio Cattelan et beaucoup d’autres ont répondu sans tergiversation.
Le lendemain, rebelote au Playboy Theater, avec en guest star un bunny à carreaux et voilette en dentelle. So kitsch.
Au Marine Stadium, Audemars Piguet et la galerie Perrotin – en partenariat avec Whitewall magazine – nous ont présenté « Curiosity », une œuvre de KOLKOZ aka Benjamin Moreau and Samuel Boutruche, conçue spécialement pour Art Basel.
Finalement, exit le bord de mer pour s’immiscer en toute légitimité au concert secret du Baron (encore), où Natacha Lejeune a joué sous la bannière étoilée pendant que Ry Rocklen sirotait un cocktail, fraichement sorti du Absolut Art bar avec Lionel Bensemoun.
La semaine s’est achevée sur la piste du Wall Club pour une dernière soirée au paradis de l’art contemporain.