Lorsque le premier hôtel Le Méridien ouvre ses portes en 1972, la volonté affichée est d’offrir à ses clients un chez-soi luxueux, même en déplacement. Le Méridien Étoile et ses 1025 chambres devient ainsi le vaisseau-amiral d’un groupe qui entame rapidement son expansion internationale.
Il était donc naturel que Le Méridien revienne à ses sources par la rénovation de ce premier établissement, le plus grand hôtel de Paris intramuros, et notamment son mythique Jazz Club Etoile. C’est donc le fruit d’une année de travaux et un tout nouveau décor dans l’esprit « mid-century modern » (popularisé par la série Mad Men entre autres) qui a été dévoilé la semaine dernière lors d’une soirée où le Tout-Paris est venu découvrir les chambres dessinées par l’architecte d’intérieur français Jean-Philippe Nuel et les nouveaux espaces partagés signés de la firme londonienne Michaelis Boyd à qui on doit le renouveau de la légendaire Battersea Power Station outre-Manche.
Outre cette dimension architecturale, c’est une véritable volonté culturelle qui anime la réouverture, avec une curation de la conservatrice Marion Vignal. Quatre artistes signent donc un point d’entrée intriguant et personnel dans un Paris, capital et rayonnant point focal du monde. Et quelle entrée en matière que la soirée #PARISCOVERY qui a vu Le Méridien Etoile mettre en avant son univers artistique en accueillant la première mondiale « Paris After Dark », le show avant-gardiste du designer capillaire Charlie Le Mindu, destiné à visiter Shanghai, Vienne et Singapour, toujours avec Le Méridien, dans les semaines à venir.