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#MOBILITY

Aston Martin DB11 V8 X La Place Vendôme : les mains sur les hanches

Curieusement c’est sans doute sous cet angle, à la place du conducteur et les yeux dans le retro que cette DB11 s’apprécie le plus. Et cette première sensation se confirme en la regardant de l’arrière : la DB11 a probablement les plus belles hanches du moment. A telle enseigne que c’est naturellement sur elles que les mains de Cléa, jeune modèle en pleine ascension, se sont posées. En prenant les commandes du bolide, une rassurante sensation de facilité s’est emparée de la jeune fille, qui effectuait ici, ses premiers tours de roues au volant d’une Aston Martin. Et une fois qu’elle eut les proportions bien dans l’œil, Il a d’ailleurs fallu insister un peu pour récupérer le siège conducteur. Dotée d’un ensemble bloc/boite d’origine AMG, la DB11 se révèle donc aussi douce dans Paris que sa cousine allemande. En mode grand tourisme, les 8 rapports s’égrènent sans heurts et la fonction start/stop veille à la consommation de carburant.

A l’intérieur, et comme toujours, le cuir tapissé sur chaque centimètre carré de l’habitacle, est perforé et piqué aux motifs de la marque. A la sortie de Paris, et en allant se dégourdir les jantes sur une portion d’autoroute, les 510ch ont permis de sortir un joli 4 secondes de 0 à 100 km/h au levé de barrière, dans un grondement en mode sport qui n’a rien à envier au précédent 12 cylindres. Plus légères, plus agile, plus facile, cette nouvelle mouture a finalement amélioré l’expérience de conduite sans en dénaturer le caractère. Et toujours une sensation de chic à nulle autre pareil qui a poussé notre amie Cléa à en demander le prix : autour de 200 000€. Ce qui pour une mannequin prometteuse pourrait se concrétiser plus vite qu’on ne le pense !

Aston Martin DB11 V8 X La Place Vendôme : les mains sur les hanches

Curieusement c’est sans doute sous cet angle, à la place du conducteur et les yeux dans le retro que cette DB11 s’apprécie le plus. Et cette première sensation se confirme en la regardant de l’arrière : la DB11 a probablement les plus belles hanches du moment. A telle enseigne que c’est naturellement sur elles que les mains de Cléa, jeune modèle en pleine ascension, se sont posées. En prenant les commandes du bolide, une rassurante sensation de facilité s’est emparée de la jeune fille, qui effectuait ici, ses premiers tours de roues au volant d’une Aston Martin. Et une fois qu’elle eut les proportions bien dans l’œil, Il a d’ailleurs fallu insister un peu pour récupérer le siège conducteur. Dotée d’un ensemble bloc/boite d’origine AMG, la DB11 se révèle donc aussi douce dans Paris que sa cousine allemande. En mode grand tourisme, les 8 rapports s’égrènent sans heurts et la fonction start/stop veille à la consommation de carburant.

A l’intérieur, et comme toujours, le cuir tapissé sur chaque centimètre carré de l’habitacle, est perforé et piqué aux motifs de la marque. A la sortie de Paris, et en allant se dégourdir les jantes sur une portion d’autoroute, les 510ch ont permis de sortir un joli 4 secondes de 0 à 100 km/h au levé de barrière, dans un grondement en mode sport qui n’a rien à envier au précédent 12 cylindres. Plus légères, plus agile, plus facile, cette nouvelle mouture a finalement amélioré l’expérience de conduite sans en dénaturer le caractère. Et toujours une sensation de chic à nulle autre pareil qui a poussé notre amie Cléa à en demander le prix : autour de 200 000€. Ce qui pour une mannequin prometteuse pourrait se concrétiser plus vite qu’on ne le pense !