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#PRECIOUS

BOUCHERON X Maharajah de Patiala : revivre les années folles

Ecoutez cette histoire. Le 2 août 1928, la place Vendôme bruisse de l’arrivée de Bhupindar Singh. Le Maharajah de l’état de Patiala est venu à Paris accompagné de ses quarante serviteurs. Trente-cinq suites ont été réservées au Ritz pour les accueillir. Le Maharajah est un colosse -il mesure près de deux mètres- connu pour son goût immodéré des bijoux. Nul ne sait encore chez quel joaillier il se rendra. En ce jour estival, escorté de gardes sikhs qui portent six coffres de fer, Bhupindar Singh traverse la place Vendôme et pousse la porte de chez Boucheron. Il est accueilli par Louis, le fils de Frédéric Boucheron qui recense dans les six coffres de fer : des diamants, des rubis, des émeraudes, des perles par milliers ! Pour ces joyaux, Louis Boucheron imaginera 149 dessins. Réinterprétant cette incroyable commande, la directrice artistique de la maison, Claire Choisne, a livré une collection exceptionnelle, dont quasi l’intégralité des pièces se décomposent et se composent. Un jeu d’articulation qui décuple les possibilités de sentir autour de son cou, les splendeurs d’une époque presque aussi folle que la nôtre !

BOUCHERON X Maharajah de Patiala : revivre les années folles

Ecoutez cette histoire. Le 2 août 1928, la place Vendôme bruisse de l’arrivée de Bhupindar Singh. Le Maharajah de l’état de Patiala est venu à Paris accompagné de ses quarante serviteurs. Trente-cinq suites ont été réservées au Ritz pour les accueillir. Le Maharajah est un colosse -il mesure près de deux mètres- connu pour son goût immodéré des bijoux. Nul ne sait encore chez quel joaillier il se rendra. En ce jour estival, escorté de gardes sikhs qui portent six coffres de fer, Bhupindar Singh traverse la place Vendôme et pousse la porte de chez Boucheron. Il est accueilli par Louis, le fils de Frédéric Boucheron qui recense dans les six coffres de fer : des diamants, des rubis, des émeraudes, des perles par milliers ! Pour ces joyaux, Louis Boucheron imaginera 149 dessins. Réinterprétant cette incroyable commande, la directrice artistique de la maison, Claire Choisne, a livré une collection exceptionnelle, dont quasi l’intégralité des pièces se décomposent et se composent. Un jeu d’articulation qui décuple les possibilités de sentir autour de son cou, les splendeurs d’une époque presque aussi folle que la nôtre !