Comme tout un chacun, Olivier Rousteing n’a jamais caché qu’il fondait de plaisir à chaque fois qu’il allumait une bougie Trudon. Mais s’agissant d’éditer la sienne, le créateur ne s’est pas contenté d’apposer son nom sur une note existante. Il a demandé à la spécialiste, Emilie Bouge, qui officie chez Robertet, de définir très précisément les contours « d’Ernesto ». Résultat :  un parfum pour elle et lui, qui fraye du cuir au cèdre, et se pique d’un cigare ourlé de poudre à canon. Un mélange explosif à l’allumage, puis, qui s’arrondit, se stabilise, quelques instants plus tard. Mais une bougie Trudon ne se résume pas à ses parfums, si subtils soient-ils. C’est également un bel objet. Dans les stries du verre inspirées des marinières chères au créateur, la danse de la flamme met en lumière les mille petites fractures du craquèlement de l’or fin au fur et à mesure que la chaleur monte. Un enchantement qui en a séduit plus d’un : ne tardez pas, le site de Balmain qui les commercialise est en feu !