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#DESTINATION

Coqui Coqui X Herman Cortes: le parfum du bonheur

C’est en 1519 qu’Herman Cortes, coquistador espangnole, pose ses chausses sur les plages du Mexique. Si de cette époque, un certain héritage architectural persiste au Coqui Coqui, pour l’esprit, rien ne semble plus éloigné que celui de conquête. A un détail près : la parfumerie. Tenue par un couple on ne peut plus glamour (une mannequin X un photographe), l’établissement propose de renouer avec une tradition héritée des anciens moines franciscains : créer des essences à parti de la flore locale. On peut ainsi rapporter chez soi non seulement le flacon, mais l’ivresse des sens et des souvenirs qui vont avec. Un « rough luxe », mâtiné d’eco responsabilité qui permet au lieu de raconter le luxe hôtelier de demain. Aux antipodes de la vision Spring Break que l’on a pu avoir des plages mexicaines, le Coqui-Coqui de Tulum est une bâtisse néo coloniale posée sur le sable, ourlé d’un pacifique de carte postale, qui diffuse le parfum du bonheur.

Coqui Coqui X Herman Cortes: le parfum du bonheur

C’est en 1519 qu’Herman Cortes, coquistador espangnole, pose ses chausses sur les plages du Mexique. Si de cette époque, un certain héritage architectural persiste au Coqui Coqui, pour l’esprit, rien ne semble plus éloigné que celui de conquête. A un détail près : la parfumerie. Tenue par un couple on ne peut plus glamour (une mannequin X un photographe), l’établissement propose de renouer avec une tradition héritée des anciens moines franciscains : créer des essences à parti de la flore locale. On peut ainsi rapporter chez soi non seulement le flacon, mais l’ivresse des sens et des souvenirs qui vont avec. Un « rough luxe », mâtiné d’eco responsabilité qui permet au lieu de raconter le luxe hôtelier de demain. Aux antipodes de la vision Spring Break que l’on a pu avoir des plages mexicaines, le Coqui-Coqui de Tulum est une bâtisse néo coloniale posée sur le sable, ourlé d’un pacifique de carte postale, qui diffuse le parfum du bonheur.