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#MOBILITY

Daniel Wiegand X Lilium : le taxi volant

Enfin un taxi aérien qui tient la route ! Depuis 2015, Daniel Wiegand, le fondateur de la compagnie allemande Lilium, développe un prototype de taxi volant. Il ne s’agit pas ici d’un drone sans pilote comme on a pu en voir ici et là en expérimentation. Il s’agit ici bel et bien d’un aéronef, nécessitant un pilote, et capable d’emmener à bon port 6 personnes en un temps record, sur une distance proche des 300km. La particularité de cet objet volant, est son mode de propulsion. Plutôt que de faire comme sur un hélicoptère, une seule et grosse hélice, Daniel Wiegand et son équipe ont parié sur une trentaine de petits ventilateurs, répartis à deux endroits : sous les moustaches à l’avant, et sous les ailes. Le bénéfice le plus inattendu est de loin la réduction drastique des émissions sonores. Car chacun a pu l’expérimenter, un des écueils de l’hélicoptère, à l’intérieur comme à l’extérieur, c’est son bruit. Pour décoller, les ailes portant les fameuses petites hélices s’orientent à la verticale, et prennent ensuite une position horizontale pour progresser. Prévus pour être déployés sur les toits des immeubles des villes modernes, ces taxi volants pourraient d’ici quelques années, en fonction des réglementations, devenir l’un des moyens de transport les plus prisés.

Daniel Wiegand X Lilium : le taxi volant

Enfin un taxi aérien qui tient la route ! Depuis 2015, Daniel Wiegand, le fondateur de la compagnie allemande Lilium, développe un prototype de taxi volant. Il ne s’agit pas ici d’un drone sans pilote comme on a pu en voir ici et là en expérimentation. Il s’agit ici bel et bien d’un aéronef, nécessitant un pilote, et capable d’emmener à bon port 6 personnes en un temps record, sur une distance proche des 300km. La particularité de cet objet volant, est son mode de propulsion. Plutôt que de faire comme sur un hélicoptère, une seule et grosse hélice, Daniel Wiegand et son équipe ont parié sur une trentaine de petits ventilateurs, répartis à deux endroits : sous les moustaches à l’avant, et sous les ailes. Le bénéfice le plus inattendu est de loin la réduction drastique des émissions sonores. Car chacun a pu l’expérimenter, un des écueils de l’hélicoptère, à l’intérieur comme à l’extérieur, c’est son bruit. Pour décoller, les ailes portant les fameuses petites hélices s’orientent à la verticale, et prennent ensuite une position horizontale pour progresser. Prévus pour être déployés sur les toits des immeubles des villes modernes, ces taxi volants pourraient d’ici quelques années, en fonction des réglementations, devenir l’un des moyens de transport les plus prisés.