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#PRECIOUS

Ginori 1735 x LCDC : à la cour de la reine Catherine

Comme story telling, on n’a pas trouvé mieux. Si La collection de parfums d’intérieur Ginori 1735 LCDC, La Compagnia Di Caterina, designée par Luca Nichetto, s’enrichit de deux nouvelles fragrances (Amber Lagoon et Musk Road), la marque puise son inspiration bien plus profondément. Car dans la collection où l’on trouve L’Amazzone (L’Amazone), L’Amante (L’Amant), Il Letterato (Le Savant), Il Seguace (Le Compagnon), Il Favorito (Le Favori), Il Frate (Le Frère), La Dama (La Dame), L’Addetto al Fuoco (Le Maitre du Feu), ces bougies forment en réalité les protagonistes de la Cour de Catherine de Médicis. L’idée est de retranscrire le périple de Florence à Paris de la Reine et d’imaginer que chacune de ces bougies est l’un des intrigants du voyage. D’un seul coup, c’est toute la Renaissance italienne en transhumance vers le royaume de Blois qui est convoquée dans ces objets et qui de fait, dépassent largement l’idée qu’on peut se faire d’une simple bougie. Texte: Nicolas Salomon.

Ginori 1735 x LCDC : à la cour de la reine Catherine

Comme story telling, on n’a pas trouvé mieux. Si La collection de parfums d’intérieur Ginori 1735 LCDC, La Compagnia Di Caterina, designée par Luca Nichetto, s’enrichit de deux nouvelles fragrances (Amber Lagoon et Musk Road), la marque puise son inspiration bien plus profondément. Car dans la collection où l’on trouve L’Amazzone (L’Amazone), L’Amante (L’Amant), Il Letterato (Le Savant), Il Seguace (Le Compagnon), Il Favorito (Le Favori), Il Frate (Le Frère), La Dama (La Dame), L’Addetto al Fuoco (Le Maitre du Feu), ces bougies forment en réalité les protagonistes de la Cour de Catherine de Médicis. L’idée est de retranscrire le périple de Florence à Paris de la Reine et d’imaginer que chacune de ces bougies est l’un des intrigants du voyage. D’un seul coup, c’est toute la Renaissance italienne en transhumance vers le royaume de Blois qui est convoquée dans ces objets et qui de fait, dépassent largement l’idée qu’on peut se faire d’une simple bougie. Texte: Nicolas Salomon.