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#MOBILITY

Lamborghini Countach 5000 S x Le Loup de Wall Street : l’impudente

La séquence est légendaire. A l’aune d’une soirée aussi arrosée que poudrée, en rampant comme une limace et grommelant comme un ours, Leo diCaprio traverse la distance qui sépare la maison de son bolide. Et contre toute attente, au fruit de contorsions innombrables, va réussir à monter à bord d’une Lamborghini semblable à celle qui est proposée par la maison de vente Artcurial. Chef d’œuvre du designer Bertone, directement inspirée par les avions de combat, la Countach est l’une des supercars les plus convoitées des 80’s. Dans une livrée blanche sur cuir crème, les 455ch de son 12 cylindres propulsaient à l’époque ce missile au-delà des 300km/h. Mais tenue de route perfectible, freinage léger, et chaleur accablante rendait ses performances bien compliquées à atteindre. Pour en comprendre le mythe, il faut en ouvrir les portes en élytres, détailler ses angles saillants, et entendre son bruit diabolique. Aussi folle que la décennie qui l’a vu naître, cette auto est plus qu’une voiture de sport : c’est le marqueur d’une déraison qu’on ne reverra sans doute plus. Si vous le pouvez, jetez-vous dessus. En vente le 1er février prochain

Lamborghini Countach 5000 S x Le Loup de Wall Street : l’impudente

La séquence est légendaire. A l’aune d’une soirée aussi arrosée que poudrée, en rampant comme une limace et grommelant comme un ours, Leo diCaprio traverse la distance qui sépare la maison de son bolide. Et contre toute attente, au fruit de contorsions innombrables, va réussir à monter à bord d’une Lamborghini semblable à celle qui est proposée par la maison de vente Artcurial. Chef d’œuvre du designer Bertone, directement inspirée par les avions de combat, la Countach est l’une des supercars les plus convoitées des 80’s. Dans une livrée blanche sur cuir crème, les 455ch de son 12 cylindres propulsaient à l’époque ce missile au-delà des 300km/h. Mais tenue de route perfectible, freinage léger, et chaleur accablante rendait ses performances bien compliquées à atteindre. Pour en comprendre le mythe, il faut en ouvrir les portes en élytres, détailler ses angles saillants, et entendre son bruit diabolique. Aussi folle que la décennie qui l’a vu naître, cette auto est plus qu’une voiture de sport : c’est le marqueur d’une déraison qu’on ne reverra sans doute plus. Si vous le pouvez, jetez-vous dessus. En vente le 1er février prochain