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#DESTINATION

Luis Laplace x Christophe Comoy : l’écume chaque jour

On ne va pas vous mentir, on ne connaissait pas vraiment ce discret cabinet d’architecture pourtant opérant depuis Paris, place Saint Georges, dans le 9e arrondissement. En réalité, ce duo ne cherche pas la lumière pour lui-même, mais plutôt pour les splendeurs qu’il conçoit. En particulier pour l’une de leur dernière réalisation sur la côte ouest mexicaine. Ourlée par l’océan Pacifique, cette bâtisse conçue pour un réalisateur de cinéma, s’ouvre en cinémascope sur une immensité bleutée et béante, où se croisent régulièrement baleines et tortues. C’est donc au service de ce spectacle permanent que la maison a été conçue. Reprenant à son compte la nostalgie d’un Acapulco des années 50, flamboyant et prisé d’une jet set chic et érudite, Laplace a voulu recréer la perception d’un édifice vintage tout en embrassant les contraintes environnementales de notre époque, à l’image de cette cathédrale de bambous convoquée pour remplacer les sempiternels IPN. Le mobilier, littéralement chiné dans le monde entier, est ponctué d’une ode à la céramique locale et d’œuvres grandioses qui font de cette demeure l’une des plus belles jamais décrites par nos soins.

Luis Laplace x Christophe Comoy : l’écume chaque jour

On ne va pas vous mentir, on ne connaissait pas vraiment ce discret cabinet d’architecture pourtant opérant depuis Paris, place Saint Georges, dans le 9e arrondissement. En réalité, ce duo ne cherche pas la lumière pour lui-même, mais plutôt pour les splendeurs qu’il conçoit. En particulier pour l’une de leur dernière réalisation sur la côte ouest mexicaine. Ourlée par l’océan Pacifique, cette bâtisse conçue pour un réalisateur de cinéma, s’ouvre en cinémascope sur une immensité bleutée et béante, où se croisent régulièrement baleines et tortues. C’est donc au service de ce spectacle permanent que la maison a été conçue. Reprenant à son compte la nostalgie d’un Acapulco des années 50, flamboyant et prisé d’une jet set chic et érudite, Laplace a voulu recréer la perception d’un édifice vintage tout en embrassant les contraintes environnementales de notre époque, à l’image de cette cathédrale de bambous convoquée pour remplacer les sempiternels IPN. Le mobilier, littéralement chiné dans le monde entier, est ponctué d’une ode à la céramique locale et d’œuvres grandioses qui font de cette demeure l’une des plus belles jamais décrites par nos soins.