fbpx
retour
#MOBILITY

Lynx Eventer x House of Gucci : le break de la discorde

Lorsque les querelles au sein de votre famille font l’objet d’un film, c’est que l’enjeux est de taille ! Dans House of Gucci, le sort du pauvre Paolo tourne au drame : exclu de sa propre marque, le fondateur tente alors par tous les moyens de continuer d’exister en tant que directeur artistique. Il multiplie les tentatives, mais de collaborations bancales en associés peu recommandables, ses aventures entrepreneuriales tournent court. En témoigne ce break de chasse jaguar XJS conçu par le carrossier anglais Lynx, et signé Paolo Gucci. Présentée en 1990 au salon automobile de Genève, elle est victime d’un recourt juridique de la marque qui l’oblige à retirer toutes les mentions « Gucci ». Paolo gesticule, mais rien n’y fait. La voiture proposée au tarif exorbitant de 100 000 livres ne rencontre pas le succès escompté, et ne sera de fait, jamais produite. Pourtant, Paolo y avait mis du cœur et surtout, beaucoup, beaucoup, de matière précieuses. Lapis-lazuli, crocodile, marqueterie de frêne, loupe d’orme, moquette tissée sur mesure, pavillon en alcantara… Proposée aux enchères prochainement par Bonhams, cet exemplaire est l’occasion unique de s’offrir un monument d’histoire, à la croisée des chemins de la mode et de la car culture.

Lynx Eventer x House of Gucci : le break de la discorde

Lorsque les querelles au sein de votre famille font l’objet d’un film, c’est que l’enjeux est de taille ! Dans House of Gucci, le sort du pauvre Paolo tourne au drame : exclu de sa propre marque, le fondateur tente alors par tous les moyens de continuer d’exister en tant que directeur artistique. Il multiplie les tentatives, mais de collaborations bancales en associés peu recommandables, ses aventures entrepreneuriales tournent court. En témoigne ce break de chasse jaguar XJS conçu par le carrossier anglais Lynx, et signé Paolo Gucci. Présentée en 1990 au salon automobile de Genève, elle est victime d’un recourt juridique de la marque qui l’oblige à retirer toutes les mentions « Gucci ». Paolo gesticule, mais rien n’y fait. La voiture proposée au tarif exorbitant de 100 000 livres ne rencontre pas le succès escompté, et ne sera de fait, jamais produite. Pourtant, Paolo y avait mis du cœur et surtout, beaucoup, beaucoup, de matière précieuses. Lapis-lazuli, crocodile, marqueterie de frêne, loupe d’orme, moquette tissée sur mesure, pavillon en alcantara… Proposée aux enchères prochainement par Bonhams, cet exemplaire est l’occasion unique de s’offrir un monument d’histoire, à la croisée des chemins de la mode et de la car culture.