La voiture est une Maserati dont le nom provient du « Scia di Persia », le Shah d’Iran, en référence aux Maserati 5000 GT commandées à la fin des années 50 par ce dernier, Mohammad Reza Pahlavi. Trois de ces Maserati spéciales, basées sur une mécanique de compétition, avaient à l’époque été réalisées par Touring et c’est ce même carrossier qui a donné naissance à ce superbe exercice de style. C’est évidemment surtout par sa forme que la Sciadipersia se démarque du reste de la production automobile, dont ce toit entièrement vitré et son somptueux intérieur. N’affichant que 10 000km, cette version sera dispersée aux enchères de Rétromobile à Paris ce week-end, avec une estimation autour des 400 000€. Une merveille.