Certes ce titre de combo semble improbable. Mais en réalité, le roman français inspire une collection faite qui s’adresse à tout le monde, partant et revenant non pas de Londres, mais de New Delhi. Derrière ce nom français se cache une jolie petite marque indienne qui met en valeur le savoir-faire des atelier locaux, prouvant ainsi que l’Inde n’est pas comme certains le pensent, qu’un immense atelier de la sous-traitance occidentale. Perte d’ego gagne en notoriété et devient peu à peu une des marques à suivre d’une planète fashion envisageait plus New Delhi davantage comme un eldorado du luxe que comme le terreau fertile d’une nouvelle création. C’est beau, coloré, ouvragé et ça change.