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#PRECIOUS

Philippe Apeloig X Hermes Slim GMT : la typographie des rêves

De son travail de typographe, on ressent une goût de Bauhaus, une note de constructivisme. Et pour cause. Il y a puisé une partie de son inspiration. Féru de littérature, Philippe Apeloig incarne LA grande typographie française. Celle qui fait circuler par le dessin des lettres les mêmes émotions que les mots. Pour Hermès dont la célèbre montre arceau portait déjà les marques d’une typographie signature, il n’était pas concevable de lancer une nouvelle montre sans que celle-ci soit à la racine. Dès lors, pour sa ligne Slim, elle s’est naturellement tournée vers Philippe Apeloig. Rigoriste et lisible, épurée mais souriante, la courbe et la rupture des index de la Slim est immédiatement devenue une des références du genre. Mais en présentant une toute nouvelle complication avec un second fuseau horaire, Hermès a donné au travail d’Apeloig une autre dimension. Car dans un désordre apparent, le cadran à 11 heure se paie le luxe de jouer avec sa propre identité sans pour autant y perdre une once de lisibilité. On tient ici toute l’essence et la force d’une identité qui même déstructurée, préserve tout son sens. Portée par un guillochage circulaire très « vinyle », elle fait montre également de son agilité à se jouer de la taille de ses caractères.

Philippe Apeloig X Hermes Slim GMT : la typographie des rêves

De son travail de typographe, on ressent une goût de Bauhaus, une note de constructivisme. Et pour cause. Il y a puisé une partie de son inspiration. Féru de littérature, Philippe Apeloig incarne LA grande typographie française. Celle qui fait circuler par le dessin des lettres les mêmes émotions que les mots. Pour Hermès dont la célèbre montre arceau portait déjà les marques d’une typographie signature, il n’était pas concevable de lancer une nouvelle montre sans que celle-ci soit à la racine. Dès lors, pour sa ligne Slim, elle s’est naturellement tournée vers Philippe Apeloig. Rigoriste et lisible, épurée mais souriante, la courbe et la rupture des index de la Slim est immédiatement devenue une des références du genre. Mais en présentant une toute nouvelle complication avec un second fuseau horaire, Hermès a donné au travail d’Apeloig une autre dimension. Car dans un désordre apparent, le cadran à 11 heure se paie le luxe de jouer avec sa propre identité sans pour autant y perdre une once de lisibilité. On tient ici toute l’essence et la force d’une identité qui même déstructurée, préserve tout son sens. Portée par un guillochage circulaire très « vinyle », elle fait montre également de son agilité à se jouer de la taille de ses caractères.