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#PRECIOUS

Richard Mille x Franklin Loufrani : faites sourire votre main

La saga Smiley, c’est une histoire de famille qui commence en 1971 alors que la France pompidolienne se complaît dans une douce morosité. Le journaliste Franklin Loufrani, dit Frank, propose à Pierre Lazareff, patron de France-Soir, le plus grand quotidien national à l’époque, une grande opération baptisée “Prenez le temps de sourire”. Son idée est de mettre en avant les bonnes nouvelles dans le journal, grâce à un petit pictogramme tout simple, un visage rond fendu d’un sourire, qui a été imaginé en 1963 par un graphiste américain, Harvey Ball, pour une campagne publicitaire. L’opération France-Soir, un formidable succès, est bientôt imitée par d’autres quotidiens européens. Contrairement à Ball, Frank Loufrani est un businessman avisé et il a pris soin, auparavant, de déposer sa propre version du logo. La suite est connue. Ayant décloisonné la haute horlogerie avec une approche jusqu’ici inédite, le français Richard Mille vient à son tour de redonner le sourire à ses clients avec cette collaboration joyeuse. Facturée plus d’un million d’euros, chacune des 50 montres sont semble-t-il toutes déjà préréservées. En s’y penchant, on y découvre tous les symboles de l’insouciance des années 80, palmiers, ananas, arc-en-ciels et flamants roses, miniaturisés au fond d’un mouvement comme toujours hautement manufacturé.

Richard Mille x Franklin Loufrani : faites sourire votre main

La saga Smiley, c’est une histoire de famille qui commence en 1971 alors que la France pompidolienne se complaît dans une douce morosité. Le journaliste Franklin Loufrani, dit Frank, propose à Pierre Lazareff, patron de France-Soir, le plus grand quotidien national à l’époque, une grande opération baptisée “Prenez le temps de sourire”. Son idée est de mettre en avant les bonnes nouvelles dans le journal, grâce à un petit pictogramme tout simple, un visage rond fendu d’un sourire, qui a été imaginé en 1963 par un graphiste américain, Harvey Ball, pour une campagne publicitaire. L’opération France-Soir, un formidable succès, est bientôt imitée par d’autres quotidiens européens. Contrairement à Ball, Frank Loufrani est un businessman avisé et il a pris soin, auparavant, de déposer sa propre version du logo. La suite est connue. Ayant décloisonné la haute horlogerie avec une approche jusqu’ici inédite, le français Richard Mille vient à son tour de redonner le sourire à ses clients avec cette collaboration joyeuse. Facturée plus d’un million d’euros, chacune des 50 montres sont semble-t-il toutes déjà préréservées. En s’y penchant, on y découvre tous les symboles de l’insouciance des années 80, palmiers, ananas, arc-en-ciels et flamants roses, miniaturisés au fond d’un mouvement comme toujours hautement manufacturé.