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#DESTINATION

Rosewood Sao Paulo x Alexandre Allard : France-Brésil’s perfect match

C’est sur les ruines d’une ancienne maternité abandonnée de Sao Paulo où plus de 500 000 enfants sont nés qu’Alexandre Allard a bâti son rêve hôtelier : proposer un établissement célébrant cette ville dont il est tombé amoureux qui mêlerait histoire et nature, architecture et conscience. Homme d’affaires français, connu notamment pour avoir racheté un Royal Monceau à la dérive, Alexandre Allard s’est adossé à l’opérateur Rosewood pour proposer ce qui résonne comme le plus bel hôtel de la mégalopole à ce jour. Et si les ressources locales ne manquent pas, c’est à son vieux compère Philippe Starck qu’il confié la décoration. Un goût français que des matériaux locaux ont décuplé, et qui, couplé à une bonne dose de vintage, apporte un cachet indéniable à l’ensemble. Adossé à une tour signée Jean Nouvel, l’hôtel formera un des complexes hôteliers parmi les plus vastes au monde, où galeries d’art tutoieront boutiques de luxe, où tables bistronomiques avoisineront salles de sport dernier cri.

 

Rosewood Sao Paulo x Alexandre Allard : France-Brésil’s perfect match

C’est sur les ruines d’une ancienne maternité abandonnée de Sao Paulo où plus de 500 000 enfants sont nés qu’Alexandre Allard a bâti son rêve hôtelier : proposer un établissement célébrant cette ville dont il est tombé amoureux qui mêlerait histoire et nature, architecture et conscience. Homme d’affaires français, connu notamment pour avoir racheté un Royal Monceau à la dérive, Alexandre Allard s’est adossé à l’opérateur Rosewood pour proposer ce qui résonne comme le plus bel hôtel de la mégalopole à ce jour. Et si les ressources locales ne manquent pas, c’est à son vieux compère Philippe Starck qu’il confié la décoration. Un goût français que des matériaux locaux ont décuplé, et qui, couplé à une bonne dose de vintage, apporte un cachet indéniable à l’ensemble. Adossé à une tour signée Jean Nouvel, l’hôtel formera un des complexes hôteliers parmi les plus vastes au monde, où galeries d’art tutoieront boutiques de luxe, où tables bistronomiques avoisineront salles de sport dernier cri.