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#DESTINATION

Stephen Skinner X Kasbah bab Ourika : cet autre Marrakech

Tombé amoureux de la destination il y a fort longtemps, Stephen Skinner, un sémillant entrepreneur anglais, avait d’abord fait ses armes en ouvrant un riad dans la Médina de Marrakech. Comme tout le monde diront certains. Avant beaucoup de monde, corrigerons-nous. Et toujours avec un temps d’avance, il fût l’un des premiers à s’en éloigner d’une quarantaine de kilomètres pour céder aux charmes de la vallée de l’Ourika et son époustouflant point de vue sur l’Atlas. Reprenant la méthode de fabrication ancestrale du pisé, dont la matière première est la terre battue, la bâtisse inaugurée il y a une dizaine d’années est devenue au fil du temps un lieu de retraite idéal. Décoration locale raffinée et matinée d’incises contemporaines, généreux potager fournissant l’essentiel des réjouissances gustatives, l’endroit est aussi un point de départ idéal pour de longs treks ou à l’inverse, ne rien faire. Au cœur de l’hiver, en grimpant vers le Haut Atlas adjacent, il est même possible pour les plus curieux de faire quelques virages à ski. Jamais le brouhaha de la ville et son flot de touristes n’auront semblé si éloignés. Une jolie façon de se réconcilier avec la destination.

Stephen Skinner X Kasbah bab Ourika : cet autre Marrakech

Tombé amoureux de la destination il y a fort longtemps, Stephen Skinner, un sémillant entrepreneur anglais, avait d’abord fait ses armes en ouvrant un riad dans la Médina de Marrakech. Comme tout le monde diront certains. Avant beaucoup de monde, corrigerons-nous. Et toujours avec un temps d’avance, il fût l’un des premiers à s’en éloigner d’une quarantaine de kilomètres pour céder aux charmes de la vallée de l’Ourika et son époustouflant point de vue sur l’Atlas. Reprenant la méthode de fabrication ancestrale du pisé, dont la matière première est la terre battue, la bâtisse inaugurée il y a une dizaine d’années est devenue au fil du temps un lieu de retraite idéal. Décoration locale raffinée et matinée d’incises contemporaines, généreux potager fournissant l’essentiel des réjouissances gustatives, l’endroit est aussi un point de départ idéal pour de longs treks ou à l’inverse, ne rien faire. Au cœur de l’hiver, en grimpant vers le Haut Atlas adjacent, il est même possible pour les plus curieux de faire quelques virages à ski. Jamais le brouhaha de la ville et son flot de touristes n’auront semblé si éloignés. Une jolie façon de se réconcilier avec la destination.