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#MOBILITY

Sydney Pollack x Ferrari Daytona : Incroyable scénario

Out of Africa, Tootsie, Les 3 jours du Condor, le talentueux Mr Ripley, Eyes Wide Shut… la filmographie de Sydney Pollack, que ce soit devant ou derrière la caméra est tout simplement l’une des plus impressionnantes de l’histoire. En 1974, Pollack, en pleine ascension, craque pour cette Ferrari de légende dont voici l’histoire. Initialement appelée 365 GTB/4 dans sa version coupée, elle prend le surnom de Daytona en raison de sa triple victoire sur le célèbre circuit. Au salon de Francfort de 1969 et à la demande du puissant marché américain, Pininfarina dessine pour Enzo Ferrari cette merveilleuse version découvrable, dont seulement 125 exemplaires seront fabriqués. Las, la voiture est aussi belle que capricieuse. Pollack s’en sépare donc quelques temps plus tard, fatigué par le manque de fiabilité des Italiennes de l’époque. La voiture part au Mexique par la route pour éviter les droits de douanes dans des mains peu recommandables. Volée sur place par un puissant prêteur sur gage cherchant à obtenir réparation, elle réapparaît dans l’Ohio quelques années plus tard. Elle fera l’objet de poursuites judiciaires dantesques, elle passera de mains en mains parmi une série de collectionneurs, avant d’être totalement restaurée et présentée à la vente par RM Sotheby’s. Rare dans cette combinaison de couleur, comme neuve, sa vie à elle seule mériterait un film !

Sydney Pollack x Ferrari Daytona : Incroyable scénario

Out of Africa, Tootsie, Les 3 jours du Condor, le talentueux Mr Ripley, Eyes Wide Shut… la filmographie de Sydney Pollack, que ce soit devant ou derrière la caméra est tout simplement l’une des plus impressionnantes de l’histoire. En 1974, Pollack, en pleine ascension, craque pour cette Ferrari de légende dont voici l’histoire. Initialement appelée 365 GTB/4 dans sa version coupée, elle prend le surnom de Daytona en raison de sa triple victoire sur le célèbre circuit. Au salon de Francfort de 1969 et à la demande du puissant marché américain, Pininfarina dessine pour Enzo Ferrari cette merveilleuse version découvrable, dont seulement 125 exemplaires seront fabriqués. Las, la voiture est aussi belle que capricieuse. Pollack s’en sépare donc quelques temps plus tard, fatigué par le manque de fiabilité des Italiennes de l’époque. La voiture part au Mexique par la route pour éviter les droits de douanes dans des mains peu recommandables. Volée sur place par un puissant prêteur sur gage cherchant à obtenir réparation, elle réapparaît dans l’Ohio quelques années plus tard. Elle fera l’objet de poursuites judiciaires dantesques, elle passera de mains en mains parmi une série de collectionneurs, avant d’être totalement restaurée et présentée à la vente par RM Sotheby’s. Rare dans cette combinaison de couleur, comme neuve, sa vie à elle seule mériterait un film !