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#FASHION

Tod’s FW 20/21 X Walter Chiapponi : Milan plus loin, on parlera toujours de cette collection

« It’s a wrap » disent-ils souvent. La collection femme Tod’s automne Hivers 2021 présentée à Milan par Walter Chiapponi, nommé à la direction de la T FACTORY, le laboratoire qui réunit un collectif mobile de Talents, fût enveloppante, et envoutante. Enveloppante d’abord, car elle a remis le cuir, matière de prédilection de la maison, au centre du propos : souple par endroit, ferme à d’autres, Walter Chiapponi a fait preuve de sa maîtrise. Envoutante ensuite, par sa palette de couleur apaisée, caressante comme le déclin flamboyant d’un soleil d’automne. Ocre, rouge, bordeaux ou kaki, on se met à rêver d’une promenade chic dans Central Park où le vestiaire Tod’s, serait le décor d’un souvenir prégnant. Chez les hommes, on a croisé des pantalons cossus, des costumes croisés, des manteaux à carreaux, ou encore des blousons de cuir. Un propos chic, qui fait aussi la part belle aux accessoires (sublimes sacs à dos et cabas) et souliers maisons, dont les inimitables mocassins. Une allure aussitôt adoptée par le front row où l’on remarquait Annabelle Belmondo, Benjamin Voisin, Ncuti Watga et Sami Outalbali (oui ceux de Sex Education). Ils prouvaient ainsi que la collection était immédiatement adoptable et transposable dans le vestiaire de chacun.

Tod’s FW 20/21 X Walter Chiapponi : Milan plus loin, on parlera toujours de cette collection

« It’s a wrap » disent-ils souvent. La collection femme Tod’s automne Hivers 2021 présentée à Milan par Walter Chiapponi, nommé à la direction de la T FACTORY, le laboratoire qui réunit un collectif mobile de Talents, fût enveloppante, et envoutante. Enveloppante d’abord, car elle a remis le cuir, matière de prédilection de la maison, au centre du propos : souple par endroit, ferme à d’autres, Walter Chiapponi a fait preuve de sa maîtrise. Envoutante ensuite, par sa palette de couleur apaisée, caressante comme le déclin flamboyant d’un soleil d’automne. Ocre, rouge, bordeaux ou kaki, on se met à rêver d’une promenade chic dans Central Park où le vestiaire Tod’s, serait le décor d’un souvenir prégnant. Chez les hommes, on a croisé des pantalons cossus, des costumes croisés, des manteaux à carreaux, ou encore des blousons de cuir. Un propos chic, qui fait aussi la part belle aux accessoires (sublimes sacs à dos et cabas) et souliers maisons, dont les inimitables mocassins. Une allure aussitôt adoptée par le front row où l’on remarquait Annabelle Belmondo, Benjamin Voisin, Ncuti Watga et Sami Outalbali (oui ceux de Sex Education). Ils prouvaient ainsi que la collection était immédiatement adoptable et transposable dans le vestiaire de chacun.