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#MOBILITY

Triumph x Baak : j’apporte le désert ?

Passion désert ? Vous n’êtes pas le seul. A l’heure où les questions sur le réchauffement pleuvent, la mobilité inspirée par les grandes dunes a le vent en poupe. Le mois dernier, Porsche dévoilait une 992 Safari inspirée par les 911 victorieuses du Paris Dakar des années 80. Côté moto, Yamaha propose une nouvelle version de sa Ténéré et Honda de l’Africa Twin, toutes deux inspirées par le désert des 80’s. Mais concernant Triumph, qui pour le coup subi une traversée du désert ( !) durant les 80’s, la Scrambler, son modèle tout terrain, manque de références. Pour combler ce vide, les préparateurs lyonnais de Baak ont décidé de lui en imaginer une, assez subtile. Car cette allure cubique si particulière, presque artisanale, cubique, c’est précisément en référence à ce que faisaient les constructeurs à cette époque : on soudait des morceau de tôle pour agrandir un réservoir, pour protéger le moteur des cailloux, on ajoutait un phare supplémentaire, on rendait la selle plus confortable pour les longues étapes. A l’époque, les constructeurs ne développent pas de modèles spécifiques. Ils partaient d’une version civile, et la « bricolait » pour la course. Ça n’est que lorsque les succès s’installaient dans le temps, qu’il développaient à proprement parler une moto finalisée.

Triumph x Baak : j’apporte le désert ?

Passion désert ? Vous n’êtes pas le seul. A l’heure où les questions sur le réchauffement pleuvent, la mobilité inspirée par les grandes dunes a le vent en poupe. Le mois dernier, Porsche dévoilait une 992 Safari inspirée par les 911 victorieuses du Paris Dakar des années 80. Côté moto, Yamaha propose une nouvelle version de sa Ténéré et Honda de l’Africa Twin, toutes deux inspirées par le désert des 80’s. Mais concernant Triumph, qui pour le coup subi une traversée du désert ( !) durant les 80’s, la Scrambler, son modèle tout terrain, manque de références. Pour combler ce vide, les préparateurs lyonnais de Baak ont décidé de lui en imaginer une, assez subtile. Car cette allure cubique si particulière, presque artisanale, cubique, c’est précisément en référence à ce que faisaient les constructeurs à cette époque : on soudait des morceau de tôle pour agrandir un réservoir, pour protéger le moteur des cailloux, on ajoutait un phare supplémentaire, on rendait la selle plus confortable pour les longues étapes. A l’époque, les constructeurs ne développent pas de modèles spécifiques. Ils partaient d’une version civile, et la « bricolait » pour la course. Ça n’est que lorsque les succès s’installaient dans le temps, qu’il développaient à proprement parler une moto finalisée.