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#MOBILITY

Ugo Zagato X Aston Martin Vantage V12: pour solide collectionneur

Vendues uniquement par paires, et basées sur les anciens châssis des 12 cylindres de 2011, cette série de 19 coupés et roadsters est la dernière collaboration en date entre Zagato et la glorieuse marque anglaise. Pour mémoire, Ugo Zagato reste l’un des plus grands carrossiers italiens de l’histoire. Depuis les années 30, cet ancien ingénieur aéronautique met au service des autos ce qu’il a appris des avions : aérodynamisme et légèreté. Après avoir collaboré avec les grands constructeurs italiens, Zagato réalise une étude sur une base de DB4 au début des années 60. Toute la carrosserie est alors repensée selon ses principes aérodynamiques, dont le bien connu double bosselage du toit. Aussi belle qu’efficace, cette première réalisation sera le début d’une longue collaboration entre les deux marques. Pour la nouvelle mouture qui nous occupe, présentée en deux couleurs, un inhabituel gold et un silver plus raisonnable, la motorisation n’offre pas moins de 600ch et un son, comme toujours, dantesque. Si la marque a parfois du mal à convaincre sur ses modèles « d’entrée de gamme », elle connait en revanche un succès indéniables sur ces micros-séries ultra exclusives. Sachez qu’elles sont totalement configurables, ce qui permet à la marque de ne pas communiquer de prix, puisqu’il ne dépend finalement, que de vous ! Pour solide collectionneur uniquement.

Ugo Zagato X Aston Martin Vantage V12: pour solide collectionneur

Vendues uniquement par paires, et basées sur les anciens châssis des 12 cylindres de 2011, cette série de 19 coupés et roadsters est la dernière collaboration en date entre Zagato et la glorieuse marque anglaise. Pour mémoire, Ugo Zagato reste l’un des plus grands carrossiers italiens de l’histoire. Depuis les années 30, cet ancien ingénieur aéronautique met au service des autos ce qu’il a appris des avions : aérodynamisme et légèreté. Après avoir collaboré avec les grands constructeurs italiens, Zagato réalise une étude sur une base de DB4 au début des années 60. Toute la carrosserie est alors repensée selon ses principes aérodynamiques, dont le bien connu double bosselage du toit. Aussi belle qu’efficace, cette première réalisation sera le début d’une longue collaboration entre les deux marques. Pour la nouvelle mouture qui nous occupe, présentée en deux couleurs, un inhabituel gold et un silver plus raisonnable, la motorisation n’offre pas moins de 600ch et un son, comme toujours, dantesque. Si la marque a parfois du mal à convaincre sur ses modèles « d’entrée de gamme », elle connait en revanche un succès indéniables sur ces micros-séries ultra exclusives. Sachez qu’elles sont totalement configurables, ce qui permet à la marque de ne pas communiquer de prix, puisqu’il ne dépend finalement, que de vous ! Pour solide collectionneur uniquement.