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#PRECIOUS

Zénith Defy 21 x Patrick Moratoglou : la performance humanisée

Comment faire d’une faiblesse, une force ? Derrière cette idée se cache sans doute l’une des clefs de la méthode Moratoglou. Maladivement timide, le jeune garçon est incapable de communiquer avec l’extérieur. Seul terrain d’expression : le tennis. Développant une habileté notable à ce jeu, il demande à son père le droit d’en faire son métier, arguant d’une vertu thérapeutique de la discipline. Refus catégorique. Le jeune Patrick fera ses études, et passera dix ans chez le psy. A l’issue de cette thérapie, lui qui désormais fait de la communication une arme, cherche à mettre à profit sa double expertise. N’ayant pas fait de carrière tennistique au niveau mondial, il s’installe comme modeste prof de tennis, en louant deux terrains à Colombes, en banlieue parisienne. Certes Patrick apprend à ses élèves à jouer, mais surtout, il les écoute, les réconforte, les fait grandir. De fils en aiguilles, ou plutôt de raquettes en cordages, le succès arrive. Sa réputation enfle, il commence à entraîner ses premiers pros. Les résultats tombent et les champions s’intéressent à celui qui parle à l’oreille des joueurs. Il emmènera par la suite Serena Williams sur le toit du monde et bâtira ce qui est considéré aujourd’hui comme la meilleure académie de tennis. Derrière ce parcours marqué du sceau de la volonté et de l’abnégation, se cache un homme à la sincérité non feinte. Une caractéristique qui a immédiatement parlé à Julien Tornare, le CEO de Zénith qui cherchait plus qu’un ambassadeur. La marque, aujourd’hui en pleine forme, a elle aussi connu des moments durs. La correspondance des parcours, du travail de fond et l’obtention de résultats, ont créé une évidence dans cette relation. A telle enseigne, que la montre qui est dédiée à l’entraîneur est la seule à être gravée de son message sur la carrure : « ce sont les petits détails qui font les grandes différences ». Légère pour ne pas gêner le joueur, robuste pour encaisser, squelettée mais lisible, et surtout hautement manufacturée, elle regroupe toutes les qualités que l’on est en droit d’attendre de ce type de montre. Un peu comme ce que l’on est en droit d’attendre d’un grand champion… Texte: Nicolas Salomon.

Zénith Defy 21 x Patrick Moratoglou : la performance humanisée

Comment faire d’une faiblesse, une force ? Derrière cette idée se cache sans doute l’une des clefs de la méthode Moratoglou. Maladivement timide, le jeune garçon est incapable de communiquer avec l’extérieur. Seul terrain d’expression : le tennis. Développant une habileté notable à ce jeu, il demande à son père le droit d’en faire son métier, arguant d’une vertu thérapeutique de la discipline. Refus catégorique. Le jeune Patrick fera ses études, et passera dix ans chez le psy. A l’issue de cette thérapie, lui qui désormais fait de la communication une arme, cherche à mettre à profit sa double expertise. N’ayant pas fait de carrière tennistique au niveau mondial, il s’installe comme modeste prof de tennis, en louant deux terrains à Colombes, en banlieue parisienne. Certes Patrick apprend à ses élèves à jouer, mais surtout, il les écoute, les réconforte, les fait grandir. De fils en aiguilles, ou plutôt de raquettes en cordages, le succès arrive. Sa réputation enfle, il commence à entraîner ses premiers pros. Les résultats tombent et les champions s’intéressent à celui qui parle à l’oreille des joueurs. Il emmènera par la suite Serena Williams sur le toit du monde et bâtira ce qui est considéré aujourd’hui comme la meilleure académie de tennis. Derrière ce parcours marqué du sceau de la volonté et de l’abnégation, se cache un homme à la sincérité non feinte. Une caractéristique qui a immédiatement parlé à Julien Tornare, le CEO de Zénith qui cherchait plus qu’un ambassadeur. La marque, aujourd’hui en pleine forme, a elle aussi connu des moments durs. La correspondance des parcours, du travail de fond et l’obtention de résultats, ont créé une évidence dans cette relation. A telle enseigne, que la montre qui est dédiée à l’entraîneur est la seule à être gravée de son message sur la carrure : « ce sont les petits détails qui font les grandes différences ». Légère pour ne pas gêner le joueur, robuste pour encaisser, squelettée mais lisible, et surtout hautement manufacturée, elle regroupe toutes les qualités que l’on est en droit d’attendre de ce type de montre. Un peu comme ce que l’on est en droit d’attendre d’un grand champion… Texte: Nicolas Salomon.