Rive gauche, Pauline Mari célèbre la parution de son dernier ouvrage
Mercredi dernier, l’historienne de l’art contemporain, Pauline Mari, célébrait la parution, aux Éditions des Cendres, de son troisième ouvrage : « Membres fantômes ». « Un livre à caractère étrange », dans lequel l’auteure s’est emparée de la souffrance de trois artistes du 20ème siècle. L’ouvrage imagine un dialogue entre la jambe du peintre Hans Hartung, la main du poète Blaise Cendrars, et l’œil du surréaliste Victor Brauner. L’auteure donne corps à ces trois membres amputés, qui ont fait souffrir leurs propriétaires d’une douleur fantôme jusqu’à leur mort. Pauline Mari avait donné rendez-vous à ses lecteurs à la librairie Tschann à Paris, pour une séance de dédicace. En présence de son éditeur Marc Kopylov et du Directeur de la fondation Hartung-Bergman, Thomas Schlesser, elle s’est entretenue avec l’historien de l’art, Pierre Wat.
Photos : Valentin Le Cron
